Le lundi 24 juillet, le Vice-Premier ministre et ministre fédéral de la Justice chargé de la mer du Nord du Royaume de Belgique, Vincent Van Quickenborne, a confirmé avoir reçu une demande d’assistance de la République Démocratique du Congo sur l’assassinat du député Chérubin Okende Senga. Et Bruxelles s’est engagé à y participer tout en expliquant, d’après l’agence Belga, citant le cabinet du ministre, que « la nature exacte de cette assistance reste à discuter ».
Cette intervention arrive alors que, le vendredi 21 juillet dernier, une semaine après les faits, le Gouvernement congolais a décidé de solliciter l’expertise de la Belgique, de la France, de l’Afrique du Sud et de la Mission de l’Organisation des Nations unies pour la Stabilisation en République Démocratique du Congo (MONUSCO). Parmi les personnalités politiques, c’est Moïse Katumbi Chapwe qui a été le premier à s’adresser aux Nations Unies, aux ambassades de l’Union Européenne et des États-Unis, entre autres, pour demander une enquête internationale indépendante.
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