La presse congolaise s’est faite prendre dans le piège, y compris une radio internationale. Le document devenu viral sur les réseaux sociaux attribué à la Direction générale de migration interdisant à Atou Matubuana de quitter le pays, est un faux.
La DGM n’a jamais émis un avis de recherche, ni interdit au gouverneur du Kongo central de quitter le pays, indique une source en haut lieu. Le document qui a inondé les réseaux sociaux est l’oeuvre des laboratoires politiques. Les ennemis du développement de la province du Kongo central ont tellement le souci de voir clouer Atou Matubuana si bien qu’ils rêvent même debout comme s’ils ont pris la fameuse drogue « bombé ». Jamais, le chef de l’exécutif provincial n’a été signifié d’une quelconque convocation du PG près la Cour de cassation.
Samedi et dimanche, Atou Matubuana était d’ailleurs aux côtés du vice-Premier ministre de l’Intérieur à Moanda. Il l’a acceuilli et a même participé avec quelques membres du gouvernement central et provincial à la manifestation sur la traite négrière. Selon plusieurs sources, Daniel Aselo n’a pas fait allusion au faux document de la DGM. Il n’a ni interpellé le gouv, ni évoqué avec Atou le faux dossier IGF. Une manière de dire que le mensonge n’a plus de place dans la société congolaise. « Le rapport bidon de l’IGF » est à mettre sur le compte de la distraction, a tonné un notable de la province.
Malgré les cabales et coups montés pour ternir son image, Atou Matubuana poursuit les travaux de développement de sa province. Après Mbanza-Ngungu, Matadi, Nsioni, c’est le tour de Seke Banza. 22 kilomètres de route ont été rehabilitatés sur fonds propre du gouvernement provincial. La population de Seke banza va évacuer rapidement ses produits agricoles. Du centre de production ( Seke banza ) aux centres consommation ( Kinshasa et Matadi ), les produits seront désormais acheminés en temps record.

Ouragan.cd