LUCIFER, le nom du projet spatial du Vatican accréditerait la thèse de Marcello Tunasi

Observatoire_Lucifer

L’Eglise catholique romaine dispose d’un chapelet des saints patrons dans toutes les activités humaines dont Saint-Michel pour les soldats parachutistes, et l’Archange Uriel pour l’astronomie, le domaine spatial, etc….

Mais le Vatican a préféré donner le nom LUCIFER à son projet d’observatoires astronomiques. Voilà qui devrait accorder davanatge des crédits à la thèse apophtegmatique du pasteur r-dcongolais, Marcello Tunasi. 
 

« L’Eglise catholique, une salle d’attente pour l’enfer », Marcello Tunasi, pasteur leader de l’église de réveil « La Compassion », l’a proclamé urbi et orbi non sans s’attirer des anathèmes des princes de l’Église. Depuis Mbuji-Mayi, le curé de la paroisse Notre-Dame de l’Espérance, l’abbé Blaise Kanda ne s’est point empêché de s’en prendre à la personne de Tunasi, l’accusant même de haineux vis-à-vis de la Vierge Marie. Depuis plus de deux mille ans, l’Église catholique tient bon contre vents et marrées, a fait comprendre l’abbé Kanda. 

D’après The Vatican Advanced Technology Telescope (VATT), l’Observatoire du Vatican est l’un des plus anciens observatoires astronomiques actifs au monde, ses racines remontant à 1582 et à la réforme grégorienne du calendrier. Basé dans la résidence d’été du pape à Castel Gandolfo, près de Rome, cet ouvrage officiel de l’État de la Cité du Vatican soutient une douzaine de prêtres et de frères (jésuites et diocésains) de quatre continents qui étudient l’univers en utilisant des méthodes scientifiques modernes. 

Le projet LUCIFER a implanté ces dernières années, au moins deux observatoires dont l’un sur une montagne sacrée des Incas en Amérique du Sud et l’autre, sur le mont Graham, à Safford, en Arizona, aux États-Unis. Même si les ingénieurs allemands qui les ont installés expliquent que le terme LUCIFER qui, bibliquement désigne le lider maximo de tous les démons, correspond le mieux aux caractéristiques techniques de leurs observatoires, des chercheurs de Right Hemispheric Remote Viewing se sont dits médusés par l’objet de la recherche du Vatican à travers LUCIFER : « un objet cosmique mystérieux qui, une fois en contact avec la terre, provoquerait trois jours d’obscurité, créerait un environnement caractérisé par le feu et le soufre, et serait une source de grande peur pour ceux qui sont au courant de la recherche ». Vingt-trois fois, le Nouveau-Testament revient sur la période très significative de trois jours notamment sur la résurrection du Christ. « Et cela n’est pas étonnant, puisque Satan lui-même se déguise en ange de lumière », avertit l’apôtre Paul de Tarse dans sa seconde lettre aux chrétiens corinthiens.

Marcello Tunasi le sait pertinement bien. Toute lumière céleste ne vient pas forcément de Dieu. Qu’il est « des esprits méchants dans les lieux célestes », poursuit Paul de Tarse. Qu’il y a même un être surnaturel dénommé, selon le prophète Jérémie, « reine du ciel » dont les offrandes lui faites irritent l’Eternel. Elle n’est donc pas à confondre avec Marie, la mère de Jésus. Il est donc un pan du ciel qui est dominé par des démons. Paul de Tarse a dit connaître un homme en Christ qui a été propulsé jusqu’au troisième ciel. Selon le livre du prophète Esaïe, au 47ème verset, 13ème verset, Dieu abandonne à leur sort, tous ceux qui se fient aux prêtres astrologues. « Qu’ils se lèvent donc et qu’ils te sauvent, Ceux qui connaissent le ciel, Qui observent les astres… ». Voiolà qui est clair. En tout cas, la thèse de Marcello Tunasi repose sur un argument en béton armé.

Ouragan.cd

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