Un mois après la mort suspecte du général Delphin Kahimbi, chef d’état-major adjoint des FARDC en charge du renseignement militaire, un autre prétexte potentiellement utilisable contre les forces armées en RDC apparaît.
Une armée qui continue à observer avec méfiance toute coopération avec les USA…
Ainsi on apprend, « Le gouvernement de Kinshasa décide de mettre de l’ordre dans l’accès aux uniformes de la police et de l’armée. Une décision annoncée ce mardi soir 31 mars pour mettre un terme à la confusion qui peut exister aujourd’hui entre les forces de défense et les vigiles et autres gardiens. Une confusion qui s’est encore révélée ces derniers jours lors de heurts mortels », écrit RFI.
« Le week-end dernier, dans certaines villes et localités de l’ex-Katanga, la milice Bakata Katanga a tenté plusieurs incursions. Là, en plus de tenues militaires, certains miliciens portaient des armes de guerre.
Désormais, les policiers et militaires ont tenté de vendre leurs effets pour améliorer l’ordinaire seront sanctionnés au regard de l’arrêté gouvernemental annoncé ce mardi », ajoute RFI.
Ce qui laisse supposer des complicités avec les forces armées et les rebelles qui agissent depuis des années contre le pouvoir d’état.
Les usa cherchent-il sous ce prétexte à pousser le président à procéder à des remaniements au sein de l’armée un peu en Côte d’Ivoire post Gbagbo ?
L’armée nationale d’un pays est censé protéger la population et si elle est accusée de collaborer avec les partis qui provoquent des violences et l’instabilité, elle et tout à fait passible à des opérations de dégraissage et ainsi de suite…
Il faudrait donc attendre les prochaines semaines pour en savoir plus…