Après avoir conféré avec l’archevêque émérite de Kinshasa, Laurent Cardinal Monsengwo, il y a une semaine, le bureau de l’Assemblée nationale entreprend une tournée auprès des chefs religieux pour, officiellement, requérir leurs prières et accompagnement dans la réalisation des tâches assignées à l’Assemblée nationale, notamment légiférer et contrôler le gouvernement pour le bien-être du peuple congolais. Mais des sources concordantes, on parle d’une mission d’« éclaireur » qu’effectue le président de la Chambre basse du Parlement auprès de cette couche de la Société civile qui devra proposer le nom du remplaçant de Corneille Nangaa à la tête de la Commission électorale nationale indépendante (Ceni).
Le président Christophe Mboso N’Kodia, à la tête du bureau de l’Assemblée nationale, a entrepris, jeudi 18 février, une tournée auprès des responsables des confessions religieuses. Cette tournée l’a conduit d’abord sur la 4ème rue Limete-Résidentiel, chez l’évêque général Israël Dodo Kamba, représentant légal de l’Église de Réveil du Congo (ERC). Après, Christophe Mboso s’est rendu au siège de l’Eglise du Christ au Congo, à Gombe, où il a été reçu en l’audience par le premier vice-président de l’ECC, Mgr Isidore Nyamuke.
Après l’entrevue à huis clos, Christophe Mboso N’Kodia s’est exprimé en ces termes : « Il y a une semaine, nous avons rencontré le cardinal Laurent Monsengwo, en tant qu’ancien président de l’Assemblée nationale. Nous avons un programme, dans le cadre de la politique de proximité prônée lors de la campagne électorale, nous avons décidé de rencontrer les représentants légaux de toutes les confessions religieuses reconnues par l’État congolais ».
Pour le président Mboso, la majorité des Congolais sont des croyants, et en tant qu’élus du peuple, ils sont là pour défendre les intérêts du peuple et se voient donc dans l’obligation d’aller vers les Églises qui sont des partenaires de l’État congolais.
« Ici, nous sommes venus rencontrer le responsable légal de l’Eglise de Réveil du Congo pour solliciter ses prières et lui demander de dire à ses fidèles de nous accompagner à travers leurs prières dans ce que l’Assemblée nationale à réaliser comme missions, à savoir de légiférer et contrôler l’action du gouvernement afin que cela se fasse avec amour et pour l’intérêt du peuple congolais. Nous lui avons aussi demandé de prier pour le chef de l’Etat et l’ensemble du peuple congolais, pour que, durant cette période, nos programmes soient inspirés par l’amour, la justice et que le Congo aille de l’avant », a renchéri Christophe Mboso.
De son côté, l’évêque général de l’ERC, Dodo Kamba, s’est dit ému par la visite du président du bureau de l’Assemblée nationale, accompagné de tout son bureau.
« C’est une première depuis l’existence de notre regroupement religieux de voir le président de l’Assemblée nationale et tous les membres de son bureau nous rendre visite. C’est une approche qui est très significative pour nous. Comme il l’a bien dit, c’est le cadre de la politique de proximité, parce que nous vivons avec le peuple. Nous avons des choses à rapporter et ce peuple qui a élu, à commencer par le président et tous les membres du bureau, c’est important qu’on nous voie pour avoir des nouvelles de ce peuple au quotidien. Nous disons merci au président et à tous les membres du bureau pour ce geste d’amour et de fraternité. (…) Nous allons répercuter ce message partout où il y a nos églises pour prêter main forte et accompagner cette Assemblée qui a su se démarquer dans sa façon de nous approcher », a dit en substance l’évêque général de l’Eglise de Réveil du Congo
Au siège de l’Eglise du Christ au Congo, à Gombe, Christophe Mboso a refait le même exercice. Au sortir de l’audience, le premier vice-président de l’ECC, Mgr Isidore Nyamuke, a déclaré ce qui suit :
« L’Eglise du Christ au Congo est très flattée par cette visite. Rappelez-vous que l’ECC est un partenaire important de l’État. Nous sommes très flattés de voir le président de l’Assemblée nationale et tout son bureau venir solliciter notre appui. Et nous avons répondu favorablement et l’ECC reste disponible pour accompagner le bureau de l’Assemblée nationale dans ses efforts de recherche du bien-être de notre population ».
Cette tournée se poursuivra ce vendredi 19 février auprès des Kimbanguistes et Musulmans.
Et la question de la Ceni s’invite sur la table
Dans les coulisses de cette visite officielle du bureau de l’Assemblée nationale auprès des confessions religieuses, il se chuchote que Mboso et son équipe sont allés dresser le lit de la désignation du futur président de la Commission électorale nationale indépendante (Ceni). Après le raté connu par le bureau Mabunda avec la désignation de Ronsard Malonda et les contestations qui s’en sont suivi, la question de la réforme électorale figure parmi les priorités du bureau Mboso. Mais avant de réviser la loi électorale, il faudra déjà penser au remplacement des animateurs de la Centrale électorale, l’équipe actuelle ayant largement épuisé son mandat.
À ce propos, on se souviendra qu’en septembre 2020, les députés membres du « G13 » – ce groupe informel qui rassemble des personnalités politiques de tous bords ainsi que des représentants de la Société civile et plaidait pour des réformes avant le scrutin de 2023 – avaient déposé une proposition de loi électorale. C’était à l’issue des consultations menées auprès d’une multitude d’acteurs, parmi lesquels le président Félix Tshisekedi lui-même, les leaders de la plateforme d’opposition Lamuka, le cardinal Fridolin Ambongo ou encore le président sortant de la Commission électorale (Ceni), Corneille Nangaa.
Parmi les dix-huit points contenus dans cette proposition de loi figure, notamment, la suppression du seuil électoral. Le G13 souhaitait également interdire le cumul des candidatures à deux scrutins et plaidait pour une plus grande transparence dans le processus de transmission des résultats des élections. Les députés ont proposé ainsi des sanctions contre le président de la Ceni et les membres qui interviennent dans ce processus si les résultats ne sont pas publiés bureau par bureau.
Le G13 avait suggéré enfin la mise en place d’un système de traçabilité des résultats et l’annulation pure et simple du scrutin s’ils ne sont pas publiés sur le site de la Ceni dans les dix jours qui suivent le vote.
Le Potentiel
Partout au Monde, Vieillesse est souvent synonyme de sagesse, dommage cen’est le cas en RDCongo de FATSHI LA BOUSE ET SA BANDE DE L’UNION SUCREE, voilà le cas de ce petit vieux d’escroc kinois de Christophe MBOSO, un petit vieux magouilleur…
LE MAL CONGOLAIS (les racines de la malhonnêteté) =tromperie, corruption et dissimulation… L’hypocrisie est aussi un autre mal qui ronge la politique congolais. Politicailleurs et ventriotes Congolais aiment l’argent comme les vampires aiment le sang.
Quand le pouvoir pousse l’homme à l’arrogance, la poésie lui rappelle la richesse de l’existence. Quand le pouvoir corrompt, la poésie purifie.
– John Fitzgerald KENNEDY
FATSHI LA BOUSE et ses politicailleurs de l’UNION SUCREE sont très satisfaits de la misère de la population!
En RDC, la victoire de Félix Tshisekedi a-t-elle été arrangée?
Le 30 décembre, un gouvernement africain a organisé des élections pluralistes sans trop d’anicroches. Il les a perdues et, le 10 janvier, a finalement reconnu sa défaite. Voilà pour l’apparente bonne nouvelle en provenance, jeudi, de Kinshasa, capitale de la République démocratique du Congo (RDC) : une alternance pacifique au pouvoir.
Cependant – et c’est la moins bonne nouvelle – le candidat présidentiel dont la victoire a été proclamée par les autorités électorales, Félix Tshisekedi, n’est apparemment pas celui qui aurait réellement obtenu le plus grand nombre de votes!
C’est en tout cas ce que soutiennent plusieurs, notamment celui qui s’estime spolié par un décompte malhonnête, le candidat Martin Fayulu, et également, à mots couverts, la Conférence épiscopale nationale (CENCO), acteur sociopolitique puissant en RDC, ainsi qu’un certain nombre d’États étrangers, dont la France.
https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1146234/rdc-congo-republique-democratique-victoire-felix-tshisekedi-arrangee
Partout au Monde, Vieillesse est souvent synonyme de sagesse, dommage cen’est le cas en RDCongo de FATSHI LA BOUSE ET SA BANDE DE L’UNION SUCREE, voilà le cas de ce petit vieux d’escroc kinois de Christophe MBOSO, un petit vieux magouilleur…
LE MAL CONGOLAIS (les racines de la malhonnêteté) =tromperie, corruption et dissimulation… L’hypocrisie est aussi un autre mal qui ronge la politique congolais. Politicailleurs et ventriotes Congolais aiment l’argent comme les vampires aiment le sang.
Quand le pouvoir pousse l’homme à l’arrogance, la poésie lui rappelle la richesse de l’existence. Quand le pouvoir corrompt, la poésie purifie.
– John Fitzgerald KENNEDY
FATSHI LA BOUSE et ses politicailleurs de l’UNION SUCREE sont très satisfaits de la misère de la population!
En RDC, la victoire de Félix Tshisekedi a-t-elle été arrangée?
Le 30 décembre, un gouvernement africain a organisé des élections pluralistes sans trop d’anicroches. Il les a perdues et, le 10 janvier, a finalement reconnu sa défaite. Voilà pour l’apparente bonne nouvelle en provenance, jeudi, de Kinshasa, capitale de la République démocratique du Congo (RDC) : une alternance pacifique au pouvoir.
Cependant – et c’est la moins bonne nouvelle – le candidat présidentiel dont la victoire a été proclamée par les autorités électorales, Félix Tshisekedi, n’est apparemment pas celui qui aurait réellement obtenu le plus grand nombre de votes!
C’est en tout cas ce que soutiennent plusieurs, notamment celui qui s’estime spolié par un décompte malhonnête, le candidat Martin Fayulu, et également, à mots couverts, la Conférence épiscopale nationale (CENCO), acteur sociopolitique puissant en RDC, ainsi qu’un certain nombre d’États étrangers, dont la France.
https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1146234/rdc-congo-republique-democratique-victoire-felix-tshisekedi-arrangee