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S’adressant à Africa Intelligence, Isabelle Kibassa a déclaré qu’elle estimait que l’arrêté était « authentique« , même si elle a nié en avoir été informée. Les ambitions de plus en plus manifestes d’Isabelle Kibassa, l’épouse de l’un des frères du président Félix Tshisekedi, pour prendre les rênes […]
Les Hommes du PrésidentLe club congolais de Tout Puissant Mazembe s’oppose fermement à ce que ses joueurs portent le logo du ministère rwandais du Tourisme, qui est le sponsor de la Ligue africaine de football. Le TP Mazembe, club congolais, est en conflit avec la Confédération africaine de […]
FootballWashington accuse trois membres de la famille Gupta d’avoir mis en place un important réseau de corruption en Afrique du Sud. Le département du Trésor accuse trois frères Gupta et un homme d’affaires qui avaient des liens étroits avec l’ancien président Jacob Zuma de corruption […]
USAWashington accuse trois membres de la famille Gupta d’avoir mis en place un important réseau de corruption en Afrique du Sud.
Le département du Trésor accuse trois frères Gupta et un homme d’affaires qui avaient des liens étroits avec l’ancien président Jacob Zuma de corruption et de détournement des biens de l’État.
Ce département, accuse les Gupta d’avoir conspiré avec Jacob Zuma pour obtenir des contrats gouvernementaux juteux , en violation des règles en vigueur.
Les entreprises américaines et internationales ayant des filiales aux États-Unis se voient interdire toute activité avec ces quatre hommes.
Les autorités américaines parlent de plusieurs milliards de dollars de fonds publics sud africains détournés
Les Guptas qui sont d’origine indienne ont toujours nié tout acte répréhensible .
Ils avaient précipitamment quitté l’Afrique du Sud , après le départ du pouvoir du président Jacob Zuma emporté entre autres par ce scandale de corruption.
Le gouvernement sud-africain a salué ces sanctions qui concernent le gèle des avoirs américains appartenant aux trois frères Gupta.
BBC
Le Premier ministre éthiopien Abiy Ahmed a reçu le prix Nobel de la paix. Ce prix lui a été décerné pour ses efforts en faveur de la « paix et de la coopération internationale ».Il a joué un rôle clef dans la signature l’année dernière de l’accord […]
AfriqueLe Premier ministre éthiopien Abiy Ahmed a reçu le prix Nobel de la paix.
Ce prix lui a été décerné pour ses efforts en faveur de la « paix et de la coopération internationale ».Il a joué un rôle clef dans la signature l’année dernière de l’accord de paix qui a mis fin à une impasse militaire de près de 20 ans avec l’Érythrée, après la guerre frontalière de 1998-2000.
M. Abiy a déclaré : « Je suis tellement flatté et ravi d’apprendre la nouvelle, merci beaucoup. C’est un prix donné à l’Afrique, donné à l’Ethiopie, et je peux imaginer comment le reste des dirigeants africains le prendront positivement pour travailler sur le processus de construction de la paix sur notre continent ».
Abiy Ahmed, 43 ans, a également été récemment salué pour son rôle dans la facilitation d’un accord de partage du pouvoir au Soudan voisin, après le renversement du président Omar el-Béchir.
Il est devenu Premier ministre éthiopien en avril 2018 et s’est lancé dans une série de réformes internes qui ont changé la politique du pays.
Abiy Ahmed a été nommé lauréat du 100e prix Nobel de la paix à Oslo.
Le comité Nobel a félicité le Premier ministre éthiopien pour avoir non seulement fait pression en faveur de la paix avec l’Érythrée, mais aussi pour avoir mené une série de réformes.
Abiy Ahmed a accordé l’amnistie à des milliers de prisonniers politiques, permis aux groupes d’opposition d’opérer après des années d’oppression et libéré les médias muselés.
Les efforts de M. Abiy pour aider à mettre fin à la crise politique au Soudan ont également joué un rôle dans la décision de lui décerner le prix Nobel de la paix.
Mais certains critiquent cette décision parce que, comme l’a souligné le comité Nobel, de nombreux problèmes restent à résoudre en Éthiopie.
Les critiques de M. Abiy affirment qu’il n’a pas fait grand-chose pour s’attaquer à la dangereuse augmentation des tensions ethniques qui ont contraint des millions de personnes à quitter leur foyer. Au total, 301 candidats avaient été nominés pour ce prix prestigieux, dont 223 personnes et 78 organisations.Il y avait eu beaucoup de spéculations sur qui allait gagner le prix. Selon les règles de la Fondation Nobel, les listes de candidats présélectionnés ne peuvent être publiées avant 50 ans.
By BBC
Toutes les 40 secondes, une personne se suicide quelque part dans le monde. Le plus souvent, ce sont des hommes qui mettent fin à leurs jours parce que, en partie, certains d’entre eux ne parlent pas de leurs problèmes et soucis à leurs proches. Alors, […]
InternationaleToutes les 40 secondes, une personne se suicide quelque part dans le monde. Le plus souvent, ce sont des hommes qui mettent fin à leurs jours parce que, en partie, certains d’entre eux ne parlent pas de leurs problèmes et soucis à leurs proches.
Alors, quels sont ces problèmes dont les hommes ne parlent pas avec leurs proches ?
Et selon une récente étude, l’utilisation des réseaux sociaux pourrait avoir un impact profond sur la santé mentale.
Selon une étude de l’Université de Pennsylvanie, plus nous passons de temps sur les médias sociaux, plus nous sommes susceptibles de nous sentir seuls et déprimés.
« Le fait d’utiliser moins de réseaux sociaux entraînerait une diminution significative de la dépression et de la solitude », explique la psychologue Melissa Hunt, l’auteure de cette étude.
Mais qu’est-ce qui peut être néfaste dans les réseaux sociaux ?
Les jeunes de 16 à 24 ans se sentent plus seuls, selon un constat d’une enquête consacrée aux causes de suicide par la BBC’s Loneliness Experiment, en collaboration avec Wellcome Collection.
Une étude réalisée à Oxford en 2017 révèle qu’il est très difficile pour les hommes d’éviter la solitude.
Lorsque la solitude devient une maladie chronique, elle peut avoir de graves répercussions sur la santé physique et le bien-être mental. Des études ont établi un lien entre la solitude et un risque accru de démence, de maladies chroniques et de comportements à risque pour la santé.
De nombreuses études suggèrent que les pleurs n’ont pas seulement un effet apaisant, mais qu’ils favorisent également l’empathie et le lien social. Pourtant, « les garçons ne pleurent pas » est encore une idée profondément ancrée dans la tête des gens.
Selon une enquête menée en Grande-Bretagne, 55 % des hommes âgés de 18 à 24 ans ont l’impression que le fait de pleurer les rend moins virils.
« Nous conditionnons les garçons dès leur plus jeune âge à ne pas exprimer d’émotions, car exprimer des émotions signifie être ‘faible' », explique Colman O’Driscoll, ancien directeur exécutif des opérations et du développement chez Lifeline, une organisation caritative australienne engagée dans la prévention du suicide.
Selon une récente enquête britannique, 42 % des hommes ayant des relations hétérosexuelles pensent qu’ils devraient gagner plus que leur partenaire. Le footballeur Olumide Durojaiye en fait partie.
« J’ai vu en mon père un principal soutien de famille, qui travaille jour et nuit, qui voyage d’un bout à l’autre du pays. Et j’avais envie de vivre comme lui », dit Olumide Durojaiye.
Ressentir le fardeau de la responsabilité financière peut exacerber les problèmes de santé mentale pour n’importe qui. Une étude réalisée en 2015 révèle que pour chaque augmentation de 1 % du chômage, le taux de suicide augmente de 0,79 %.
« Nous apprenons durant toute notre existence à nous juger nous-mêmes par rapport à nos pairs et à réussir sur le plan économique », déclare Simon Gunning, PDG de Campaign Against Living Miserably (Calm), une organisation caritative basée au Royaume-Uni, qui se consacre à la prévention du suicide chez les hommes.
« Quand il y a des facteurs économiques qu’on ne peut pas contrôler, ça devient très difficile », souligne Simon Gunning.
« Qu’ils soient juste heureux, et que tout le monde autour d’eux soit heureux », répond Olumide Durojaiye à cette question.
« On devrait s’attendre à ce que nous soyons un peu plus ouverts et libres avec nos émotions. (…) Cela rendra la société bien meilleure », estime James Ellington, qui a remporté la médaille d’or au relais 4x100m des Championnats d’Europe 2016.
Josh est devenu une célébrité au Royaume-Uni lorsqu’il est arrivé troisième dans une émission de télé-réalité populaire, Love Island, l’an dernier.
« Je vivais dans mon club de gym [métaphoriquement] avant de commencer la télé-réalité, et même comme cela, j’étais en lambeaux. Je me rappelle que je me regardais dans le miroir (…) Je ne voulais toujours pas y aller. »
« Il n’y a rien de pire que d’être sur la plage. On peut se sentir émasculé, rien qu’en voyant un gars s’y promener », dit-t-il.
Olumide Durojaiye n’avait pas la sérénité, concernant son allure. « J’ai commencé à me détester », dit-il.
« J’ai entendu un fan crier, quand je jouais il y a quelques années : ‘Hé, gros lard, remonte tes chaussettes’. Tout ce que je pensais, c’était que je n’étais pas assez bon, que mon corps était horrible, je détestais ça », raconte le footballeur.
BBC
NAIROBI, Kenya – Un missionnaire américain qui dirigeait une église évangélique conservatrice et une station de radio au Rwanda a été arrêté lundi à Kigali, la capitale du pays, avant de pouvoir tenir une conférence de presse pour dénoncer le gouvernement qui réprimait des églises […]
RwandaNAIROBI, Kenya – Un missionnaire américain qui dirigeait une église évangélique conservatrice et une station de radio au Rwanda a été arrêté lundi à Kigali, la capitale du pays, avant de pouvoir tenir une conférence de presse pour dénoncer le gouvernement qui réprimait des églises comme la sienne.
Le révérend Gregg Schoof est l’un des nombreux pasteurs évangéliques déclarés qui ont reproché au gouvernement rwandais de permettre l’accès à l’avortement et au contrôle des naissances et d’avoir enseigné l’évolution. Il a été arrêté pour avoir tenté de tenir une conférence de presse sans autorisation, a déclaré Modeste Mbabazi, porte-parole du Bureau des enquêtes sur le Rwanda.
M. Schoof a déplacé sa famille de l’Indiana au Rwanda il y a 16 ans, presque une décennie après le génocide qui a tué un million de personnes. Il a établi une église baptiste et Amazing Grace Christian Radio. Mais le gouvernement du président Paul Kagame l’année dernière a révoqué la licence de sa station, fermé son église et récemment refusé de renouveler les visas de M. Schoof et de sa famille, a déclaré M. Schoof.
«Je ne suis pas venu ici pour combattre le gouvernement. Je suis venu prêcher l’Évangile », a déclaré M. Schoof dans une déclaration qu’il avait présentée lors d’une conférence de presse qu’il avait présentée. « Mais ce gouvernement a pris position contre Dieu avec ses pratiques païennes. »
Le gouvernement rwandais mène une vaste campagne de répression contre les institutions religieuses du pays, en fermant des milliers d’églises et des dizaines de mosquées, en les accusant souvent de ne pas se conformer aux normes de sécurité des bâtiments. La plupart des églises fermées sont de petits groupes pentecôtistes qui se réunissent dans des tentes ou des bâtiments fragiles. Certaines prêchent une sorte d’évangile de la prospérité qui encourage les fidèles à faire des dons qui dépassent leurs moyens.
Les pasteurs qui ont protesté contre les bouclages ont été arrêtés et des défenseurs des droits de l’homme ont accusé M. Kagame d’avoir violé les droits religieux et la liberté d’expression.
L’organisme de réglementation des télécommunications du Rwanda a révoqué la licence de la station de radio de M. Schoof en 2018 après avoir diffusé un sermon dans lequel un pasteur a été entendu qui dénigrait les femmes, en les traitant de mal, a déclaré l’organisme de réglementation. Le Rwanda exerce un fort contrôle sur les médias depuis le génocide de 1994, qui a été en partie provoqué par des émissions de radio incendiaires.
M. Schoof a porté l’affaire devant les tribunaux, mais il a déclaré que l’affaire n’avait pas encore été entendue. Dans sa déclaration, M. Schoof a déclaré que le sermon du pasteur sur les femmes «diaboliques» avait été sorti de son contexte. Il a dit que le pasteur avait prêché contre les mauvaises églises – pas les mauvaises femmes – et que les médias locaux avaient repris le comportement du gouvernement.
On Monday, Mr. Schoof had planned to give a news conference, issuing a news release saying he would “update all about the radio being closed, court cases, and other things.” But the manager of the bar where he planned to speak asked him to show government authorization to hold the meeting, and he didn’t provide it, a police spokesman John Kabera told a local newspaper, The New Times.
Mr. Kabera said in an interview with The New York Times that Mr. Schoof “was arrested for disturbing public order.”
Mr. Schoof could not be reached for comment.
In the statement he was planning to read for the press, Mr. Schoof faulted the government for closing churches and his radio station, arresting pastors, teaching evolution, allowing abortion and distributing condoms to young people.
He wrote, “Is this government trying to send people to hell?”
Until last year, Rwanda imprisoned women accused of having abortions. But a law passed last year allowed abortion in cases of rape, forced marriage, incest, or when the pregnancy posed a health risk to the mother. Earlier this year, Mr. Kagame ordered the release of nearly 400 women and girls who had been jailed for having or aiding in abortions.
Mr. Schoof said he and his family planned to move to Kampala, Uganda, this month. On Monday night, the minister was still in custody, the spokesman for the Rwanda Investigation Bureau said.
By Carlos Mureithi New-York Times
Un éminent juriste qui enquête sur le mystérieux accident d’avion de 1961 qui a tué le secrétaire général des Nations Unies, Dag Hammarskjold, en Afrique australe, a conclu que l’avion avait peut-être été attaqué et que quatre pays – la Grande-Bretagne, la Russie, l’Afrique du […]
USA USAUn éminent juriste qui enquête sur le mystérieux accident d’avion de 1961 qui a tué le secrétaire général des Nations Unies, Dag Hammarskjold, en Afrique australe, a conclu que l’avion avait peut-être été attaqué et que quatre pays – la Grande-Bretagne, la Russie, l’Afrique du Sud et les retenir des informations qui pourraient résoudre le casse-tête.
Le juriste, Mohamed Chande Othman, ancien juge en chef de la Tanzanie, a publié ses conclusions dans un rapport de 95 pages publié lundi sur le site Web des Nations Unies, qui l’a retenu il y a près de trois ans pour l’aider à passer au crible de nouvelles preuves théories sinistres qui ont proliféré dans les décennies qui ont suivi le crash.
M. Hammarskjold, diplomate suédois de 56 ans considéré comme l’un des dirigeants les plus prospères des Nations Unies, était en mission pour aider à régler une guerre de sécession dans le Congo nouvellement indépendant, une ancienne colonie belge. Son avion affrété, un DC-6, est tombé en panne après le 18 septembre 1961, peu avant son atterrissage prévu à Ndola, une ville qui appartenait alors au protectorat britannique de la Rhodésie du Nord et qui est maintenant en Zambie.
Quinze personnes à bord, y compris M. Hammarskjold, des membres de son personnel et de son équipage, ont été tuées dans l’accident. L’unique survivant, Harold Julien, un agent de sécurité américain, est décédé des suites de ses blessures six jours plus tard.
L’accident est l’un des mystères les plus durables de l’histoire des Nations Unies, où M. Hammarskjold a été exalté en tant qu’homme d’État international modèle. Il est le seul à avoir reçu le prix Nobel de la paix à titre posthume. Son nom orne des bâtiments et des places autour du siège de l’organisation internationale à New York.
Les premières enquêtes des autorités coloniales ont attribué le crash à une erreur du pilote, mais les soupçons de jeu déloyal se sont multipliés au cours des années suivantes. Certaines théories soutiennent que les intérêts miniers de l’ère coloniale, éventuellement soutenus par les services de renseignement occidentaux, avaient comploté pour assassiner M. Hammarskjold, fervent promoteur de l’indépendance africaine face aux puissances coloniales au cours d’une période charnière de la guerre froide.
D’autres informations provocantes semblent corroborer la thèse selon laquelle des mercenaires sud-africains ou belges auraient pu forcer l’avion de M. Hammarskjold à s’écraser. Mais les preuves sont loin d’être concluantes.
Dans un rapport intermédiaire de 2017, M. Othman a écrit qu’une «action hostile» venant de l’extérieur de l’avion pourrait l’avoir condamné, soit par une attaque directe, soit en poussant les pilotes à voler trop bas.Il a déclaré que les États membres des Nations Unies susceptibles de détenir des informations sur le crash étaient obligés de montrer qu’ils avaient entièrement examiné leurs dossiers et leurs archives.
Dans son rapport final, M. Othman a écrit que l’hypothèse de l’attaque «restait plausible» et que la charge de la preuve qu’il avait assignée aux États membres n’avait «pas encore été complètement déchargée».
L’année dernière, M. Othman a demandé à 14 pays de désigner chacun un responsable indépendant chargé d’examiner les archives des services de renseignement, de sécurité et de défense pour les informations relatives à la catastrophe. Dans son nouveau rapport, il a écrit que ses interactions avec ces pays et les personnes nommées avaient depuis été «largement réussies».
Mais M. Othman a également souligné que certains pays – notamment les États-Unis, l’Afrique du Sud, la Grande-Bretagne et la Russie – « pourraient encore avoir du travail à faire pour que les recherches exhaustives soient menées avec un degré de transparence suffisant ».
Leur coopération, a-t-il écrit, est particulièrement importante car ils «doivent être pratiquement certains de détenir des informations importantes et non divulguées» sur le crash.
M. Othman a distingué des responsables britanniques et rhodésiens qui semblaient avoir tenté de guider les premières enquêtes « pour conclure que l’accident était dû à une erreur du pilote, plutôt qu’à tout type d’ingérence extérieure ». Il a également déclaré que l’Afrique du Sud avait ignoré ses répétitions. demandes d’informations concernant des mercenaires pro-apartheid de ce pays qui auraient pu être impliqués, théorie qui a acquis une certaine crédibilité dans un film documentaire publié cette année, «Cold Case Hammarskjold».
Les responsables des quatre pays n’ont pas immédiatement commenté le rapport de M. Othman, qui incluait une recommandation selon laquelle le secrétaire général actuel des Nations Unies, António Guterres, nommerait un enquêteur indépendant pour poursuivre les travaux.
Dans une lettre accompagnant le rapport, M. Guterres a déclaré qu’il était d’accord et qu’il « reste de notre responsabilité commune de rechercher la pleine vérité sur ce qui s’est passé lors de cette nuit décisive de 1961. »
Susan Williams, chercheuse à l’Université de Londres dont le livre de 2011, « Who Killed Hammarskjold? », A favorisé le soutien à de nouvelles enquêtes, a accueilli avec satisfaction le rapport de M. Othman, affirmant qu’il avait permis de révéler ce qu’elle appelait « les réponses totalement inadéquates et évasives » qui n’avait pas pleinement coopéré avec lui.
En revanche, elle a particulièrement apprécié l’aide fournie par le Zimbabwe. Ancienne colonie britannique de la Rhodésie du Sud, il s’agissait du territoire central d’une fédération sous domination britannique comprenant la Rhodésie du Nord, où l’avion s’était écrasé.
Les informations fournies par le Zimbabwe dans le rapport de M. Othman contiennent de nouveaux détails sur M. Julien. Ils incluaient un document dans lequel il déclarait à ses médecins qu’il y avait eu une explosion à bord de l’avion, suivie d’explosions moins importantes qui avaient forcé l’avion à descendre, et qu’il s’était échappé en se jetant à travers une trappe de sécurité. Les informations avaient été supprimées par les fonctionnaires rhodésiens.
« Cela indique que les autorités rhodésiennes ont tenté de dissuader le public de toute ingérence extérieure possible », a déclaré Mme Williams dans un courrier électronique. « Cela suggère également que Julien en a peut-être plus parlé des derniers moments de l’accident que ce qui est disponible jusqu’à présent. »
New-York Times
Un coup de fil entre Donald Trump et le président ukrainien Volodymyr Zelensky est au cœur d’une controverse qui pourrait aboutir à la destitution du président américain. BBC Afrique vous explique les tenants et les aboutissants de cette affaire qui tient en haleine l’Amérique. Tout […]
InternationaleUn coup de fil entre Donald Trump et le président ukrainien Volodymyr Zelensky est au cœur d’une controverse qui pourrait aboutir à la destitution du président américain.
BBC Afrique vous explique les tenants et les aboutissants de cette affaire qui tient en haleine l’Amérique.
Tout commence en juillet après l’élection de Zelensky.
Lors du coup de fil durant lequel il le félicite, Donald Trump l’exhorte à enquêter sur Joe Biden, un de ses potentiels rivaux lors de la présidentielle américaine de 2020.
Donald Trump fait l’objet d’une enquête de destitution à la suite d’allégations selon lesquelles il aurait abusivement sollicité l’aide de l’Ukraine pour augmenter ses chances de se faire réélire en 2020.
Une transcription approximative de l’appel a révélé par la suite que M. Trump avait exhorté le président Volodymyr Zelensky à enquêter sur l’ancien vice-président américain Joe Biden, ainsi que sur son fils Hunter Biden.
Il est illégal de demander l’aide d’entités étrangères pour gagner une élection américaine.
Mais la question est de savoir si M. Trump a enfreint la loi ou s’il a commis une infraction punissable.
Le président américain déclare qu’il n’a rien fait de mal.
Il est important de noter que l’appel a eu lieu quelques jours après que M. Trump a bloqué environ 391 millions de dollars US en aide militaire à l’Ukraine.
Les démocrates affirment que cette aide a servi de monnaie d’échange pour faire pression sur le nouveau gouvernement de Kiev, mais M. Trump le nie.
Donald Trump et ses partisans affirment que Joe Biden, alors vice-président des Etats-Unis, a abusé de son pouvoir pour faire pression sur l’Ukraine afin qu’elle bloque une enquête criminelle qui pourrait impliquer son fils, Hunter, qui travaillait pour une société énergétique ukrainienne.
Mais ces allégations ont été largement discréditées.
Rien n’indique que M. Biden ait pris des mesures intentionnelles en faveur de son fils, ni que Hunter Biden ait commis des actes répréhensibles.
Objet d’une procédure qui pourrait aboutir à sa destitution (« Impeachment »), le Président Trump a rejeté la controverse qu’il assimile à une « chasse aux sorcières ».
Quoi qu’il en soit, l’appel de juillet a galvanisé les démocrates qui se battent pour destituer Donald Trump.
Mais pour qu’ils réussissent, les membres de sa propre formation politique, le parti républicain, devront se retourner contre lui.
Un dénonciateur anonyme, qui serait un fonctionnaire de la CIA, est la source des informations qui valent à Trump une procédure d’impeachment.
Cet informateur a écrit une lettre dans laquelle il estime qu’il y a de sérieuses raisons d’enquêter sur ce fameux coup de fil.
Il a aussi soutenu que le président a utilisé « son pouvoir pour solliciter l’ingérence d’un pays étranger » lors de l’élection présidentielle de 2020.
Il a admis qu’il n’avait pas été directement témoin de l’appel, mais que les récits partagés par d’autres fonctionnaires étaient assez inquiétants.
Pour mettre les choses en contexte, une douzaine de personnes auraient écouté la conversation, dont le secrétaire d’État Mike Pompeo.
Le dénonciateur a déposé une plainte officielle le 12 août.
Il a également indiqué que des responsables de la Maison-Blanche avaient été « profondément troublés » par l’appel et qu’ils avaient pris des mesures pour « bloquer » tous les détails de l’appel.
Au milieu de la controverse croissante, M. Trump a promis de publier une « transcription complète, entièrement déclassifiée et non expurgée », qui prouverait que l’appel avait été « totalement approprié ».
Mais les détails révélés par la Maison Blanche étaient des notes de la conversation.
Ce n’était pas un compte rendu complet et textuel.
La transcription de l’appel a montré que M. Trump avait exhorté M. Zelensky à enquêter sur les allégations de corruption contre l’ancien vice-président Joe Biden, un des potentiels candidats démocrate en 2020, ainsi que le fils de M. Biden.
M. Trump et ses alliés ont suggéré que M. Biden, en tant que vice-président de Barack Obama, avait encouragé le renvoi du meilleur procureur d’Ukraine en 2015 parce qu’il enquêtait sur une société énergétique qui employait Hunter Biden.
À l’époque, en travaillant en étroite collaboration avec des entités étrangères pendant que son père était à la Maison-Blanche, Hunter Biden avait été critiqué pour avoir exposé son père à des soupçons de conflit d’intérêts.
Mais rien n’indique que M. Biden ait agi intentionnellement en faveur de son fils.
Le procureur ukrainien qui a remplacé celui qui a été congédié a déclaré à la BBC qu’il n’y avait aucune raison pour l’Ukraine d’enquêter sur les Bidens et que toute corruption avec la société s’était produite avant que Hunter Biden n’y accède.
M. Trump a fait remarquer que M. Biden s’est vanté en 2018 d’avoir menacé, en tant que vice-président, de retenir un milliard de dollars d’aide à l’Ukraine à moins que le procureur ne soit renvoyé.
Mais la motivation est la clé ici.
M. Biden voulait qu’il soit démis de ses fonctions précisément parce qu’il ne parvenait pas à réprimer la corruption.
Et le vice-président n’agissait pas seul, mais plutôt en tant que point central d’une campagne plus large de lutte contre la corruption en Ukraine, soutenue par le gouvernement américain, les alliés européens et le Fonds monétaire international.
Les agents de santé et leurs installations ‘’sont sous une forte menace d’attaques des miliciens Maï-Maï’’. Le centre de traitement d’Ebola installé à l’hôpital général de référence de Mambasa, est l’une de leur cible. La sécurité a été renforcée dans le territoire. Ecoutez les explications […]
Non classéLes agents de santé et leurs installations ‘’sont sous une forte menace d’attaques des miliciens Maï-Maï’’.
Le centre de traitement d’Ebola installé à l’hôpital général de référence de Mambasa, est l’une de leur cible.
La sécurité a été renforcée dans le territoire.
Ecoutez les explications de Laurent Keya, coordonnateur adjoint de la Convention pour le développement des peuples forestiers (CODEPEF), un réseau d’ONG basé en Ituri.
BBC
Le président de la République démocratique du Congo Félix Tshisekedi a déclaré lundi qu’il était « prêt à mourir » pour la paix dans l’est de son pays, en proie à l’insécurité des groupes armés depuis 25 ans. « Notre combat sera celui de vous apporter la paix, […]
SecuritéLe président de la République démocratique du Congo Félix Tshisekedi a déclaré lundi qu’il était « prêt à mourir » pour la paix dans l’est de son pays, en proie à l’insécurité des groupes armés depuis 25 ans.
« Notre combat sera celui de vous apporter la paix, une paix définitive, une paix nécessaire pour la stabilité de notre pays », a déclaré le chef de l’Etat congolais lors d’un rassemblement public à Bukavu dans le Sud-Kivu
« Et cette paix, croyez-moi, je suis prêt à mourir pour qu’elle soit une réalité », a-t-il ajouté.
De retour d’un séjour de près de trois semaines à l’étranger, le chef de l’Etat doit inaugurer mardi un laboratoire de transformation des produits agricole près de Bukavu.
Lors de sa campagne il y a un peu moins d’un an, il avait promis d’installer l’état-major de l’armée dans l’est de la RDC, où des dizaines de groupes armés sont encore actifs.
VOA and AFP
Le retour enthousiasmé de Mbusa Nyamwisi a vite tourné en cauchemar! L’homme qui, de très bonne foi, aurait voulu offrir sa part de contribution pour une solution durable à un double fléau, l’Ebola et les massacres à Beni-Lubero, est devenu lui-même la cible du complot […]
Non classéLe retour enthousiasmé de Mbusa Nyamwisi a vite tourné en cauchemar! L’homme qui, de très bonne foi, aurait voulu offrir sa part de contribution pour une solution durable à un double fléau, l’Ebola et les massacres à Beni-Lubero, est devenu lui-même la cible du complot d’élimination de la part des gestionnaires du plan diabolique en cours contre l’Est de la R.D. Congo. Dès lors, la tête de Mbusa Nyamwisi coûte aussi cher que le diamant le plus cher du monde.
Et, comme la campagne de dénigrement politique utilisant ses propres frères de communauté ne suffisait pas, il a fallu planifier à son encontre des stratégies purement militaire encrées des cahrismes du terrorisme propre au soi-disant fils de Mzee Kabila et neveu du général rwandais James Kabarebe, agissant de son cabinet établi à Kingakati (Kinshasa). Mbusa Nyamwisi est un témoin génant que Joseph Kabila jure ne jamais pardonner pour tant de revers qu’il a infligés au plan de balkanisation de la R.D. Congo.
Voici un extrait d’enquête menée par “Congo Enchainé” sur la dernière tentative d’attentat manqué contre Mbusa Nyamwisi à Kinshasa:
Enquête : Pourquoi Mbusa Nyamwisi a précipitamment quitté la RDC ? Joseph Kabila aurait planifié de l’assassiner pour déclencher une rébellion à Beni, saboter la présidence de Felix Tshisekedi et en profiter pour balkaniser la RDC
Date: 21 septembre 2019 Author: Congo Enchainé, Par le Mani KONGO
Mbusa et plusieurs de ses proches ont précipitamment quitte Kinshasa quand ils ont eu vent d’un plan macabre pour l’assassiner.
Selon un des généraux qui campe à Kingakati mécontent du plan diabolique de Joseph Kabila et ses collègues généraux sur la RDC et le pouvoir de Felix Tshisekedi a décidé de contacter congoenchaine.com
Selon ce général dont nous gardons l’anonymat, Joseph Kabila avait un plan de tuer Mbusa Nyamwisi et ce plan consistait à un simulacre d’accident routier ou d’avion de Mbusa Nyamwisi.
Et pendant cette annonce de la fin tragique du leader de la zone Beni-Butembo.
Les Nanade vont se révolter mais en réalités, il ne s’agit pas des vrais Nande mais des tueurs et ADF Nalu qui continuent à opérer dans la région de Beni Lubero toujours sous contrôle de Joseph Kabila.
Ses tueurs allaient immédiatement passer à la phase finale de leurs opérations macabres qui consiste à déclencher des massacres à la machette sur les habitants de Beni, soi-disant pour venger la mort de Mbusa Nyamwisi mais en réalité, Joseph Kabila et ses généraux qui campent
en secret à Kingakati cherchent seulement un prétexte pour déclencher la guerre civile dans la région de Beni, saboter la présidence de Felix Tshisekedi et détruire les centres de traitement l’Ebola.
Pourquoi Joseph Kabila veut assassiner Mbusa Nyamwisi ? :
Primo donner une raison de plus pour accélérer la destitution du Président Tshisekedi et comme raison avancée l’incapacité notoire du président de garantir la paix et la souveraineté de l’état congolais…
Secundo Propager l’épidémie du Virus Ebola pour exterminer les Nande
Et finalement la communauté internationale sera contrainte à demander à la classe politique congolaise de remettre le pouvoir au pyromane Kabila, d’éteindre le feu à l’est de la RDC et si ce plan de Kabila échoue, la communauté internationale fatiguée des guerres récurrentes
et l’immaturité de la classe politique congolaise, corrompue, toxique et incompétente décidera de balkaniser la RDC.
Et comme ce plan vient d’être dévoilé martèle notre général, il se pourrai que Kabila l’applique ailleurs et plus précisément dans le Haut-Katanga.
Affaire à suivre….
Benilubero Online est également à pied d’oeuvre pour dévoiler tous les secrets ayant forcé un nouveau retrait subit de Mbusa Nyamwisi de la scène publique congolaise, juste quelques semaines après son retour enthousiasmé au pays. Mais d’emblée, il importe que les congolais comprennent que le coup que subit Mbusa Nyamwisi est celui porté par le balkanisateur contre la Nation congolaise elle-même.
L’Editeur BLO
©Beni-Lubero Online.
La ministre de la santé Ummy Mwalimu, a reconnu l’existence de cas suspects dans son pays comme l’ont dénoncé certains pays et ONG. C’est la première fois que la ministre Ummy Mwalimu se prononce en public sur des cas suspects. Le 14 septembre, elle avait […]
SantéLa ministre de la santé Ummy Mwalimu, a reconnu l’existence de cas suspects dans son pays comme l’ont dénoncé certains pays et ONG.
C’est la première fois que la ministre Ummy Mwalimu se prononce en public sur des cas suspects.
Le 14 septembre, elle avait même déclaré qu’il n’y avait pas de cas confirmé d’Ebola dans son pays.
Ummy Mwalimu, a déclaré qu’elle n’était aucunement obligée de le faire puisque les tests locaux étaient négatifs.
l’OMS avait indiqué que la réglementation internationale imposait à un État membre de déclarer les échantillons cliniques pour des tests secondaires lorsque les tests locaux donnent des résultats positifs.
Selon la ministre, il faudra qu’un total de 25 cas soient enregistrés pour que l’OMS soit informée et la Tanzanie n’avait connu que deux cas suspects en septembre.
De plus en plus de pressions sont exercées par la communauté internationale sur les autorités tanzaniennes pour qu’elles partagent les échantillons en leur possession.
Plusieurs pays dont les États-Unis et le Royaume-Uni ont demandé à leurs ressortissants se rendant en Tanzanie d’être prudents suite à l’annonce des cas suspects en septembre dernier.
by BBC
Une organisation congolaise a appelé les autorités judiciaires de la République démocratique du Congo à enquêter sur le patrimoine de l’ancien président Joseph Kabila et des anciens ministres, a indiqué mercredi à l’AFP cette ONG. L’Association congolaise pour l’accès à la justice (ACAJ) « a appelé […]
PolitiqueUne organisation congolaise a appelé les autorités judiciaires de la République démocratique du Congo à enquêter sur le patrimoine de l’ancien président Joseph Kabila et des anciens ministres, a indiqué mercredi à l’AFP cette ONG.
L’Association congolaise pour l’accès à la justice (ACAJ) « a appelé mardi le procureur de la Cour constitutionnelle à enquêter sur les patrimoines de l’ancien président de la République, Joseph Kabila et ses anciens Premiers ministres », écrit son président Georges Kapiamba dans un message transmis à l’AFP.
La même demande a été adressée au procureur de la Cour de cassation pour qu’il en fasse autant contre les anciens vice-premiers ministres, ministres, vice-ministres et « n’hésite pas à les contraindre par tous les moyens de droit et/ou à les poursuivre en cas d’obstruction, rébellion et autres infractions », ajoute-t-il.
D’après l’ACAJ, « plusieurs d’entre eux ne les ont jamais déclarés à la fin de leur mandat ». « Ils ne veulent pas le faire pour dissimuler leur enrichissement illicite et ne pas payer d’impôts conséquents au fisc », ajoute l’ONG.
La loi congolaise impose au chef de l’État et aux membres du gouvernement de déposer au greffe de la Cour constitutionnelle leur déclaration écrite de patrimoine familial au début et à la fin de leurs mandats respectifs.
Cette déclaration de patrimoine familial détaille leurs biens meubles et immeubles, actions ou parts sociales, obligations, comptes en banque, terrains non bâtis, forêts, plantations et terres agricoles, mines et tous autres immeubles, avec indication des titres pertinents.
Lundi, le Premier ministre Sylvestre Ilunga Ilunkamba, investi le 6 septembre, a déposé la déclaration écrite de son patrimoine au greffe de la Cour constitutionnelle.
D’après le dernier compte rendu du Conseil des ministres tenu vendredi à Kinshasa, M. Ilunga Ilunkamba avait rappelé aux membres du gouvernement l’obligation de déclarer leurs avoirs au plus tard le 6 octobre 2019.
Le président Joseph Kabila a dirigé la RDC du 26 janvier 2001 au 24 janvier 2019.
VOA and AFP
Selon l’ONU, plus de 900 personnes ont été victimes de violences sexuelles liées au conflit en République démocratique du Congo (RDC) sur une période d’un an. La partie orientale du pays, ravagée par les conflits, est la plus touchée. Selon Kate Gilmore, haut-commissaire adjointe de […]
violencesSelon l’ONU, plus de 900 personnes ont été victimes de violences sexuelles liées au conflit en République démocratique du Congo (RDC) sur une période d’un an.
La partie orientale du pays, ravagée par les conflits, est la plus touchée.
Selon Kate Gilmore, haut-commissaire adjointe de l’ONU aux droits de l’homme, une grande partie des crimes a été perpétrée par les personnes censées protéger les civils.
Au cours des deux dernières décennies, une grande partie de l’est de la RDC a été le théâtre de conflits presque incessants.
Mme Gilmore a déclaré au Conseil des droits de l’homme que la majorité des 900 cas de violence sexuelle enregistrés au cours d’une année ont été perpétrés par la police, l’armée ou des milices.
L’armée nie ces allégations, affirmant qu’elle a mis en place des procédures pour enquêter sur les soldats soupçonnés d’avoir commis des violations des droits humains.
La levée de l’impunité des agents de l’État a été l’une des principales promesses de campagne du président Félix Tshisekedi, mais 10 mois après son élection, peu de mesures semblent avoir été prises.
BBC